« Les marchands de poulets ont fait transiter un grand nombre de volailles à travers les gouvernorats, sans contrôle », a dit Abdel Aziz Al-Sayed, président du service Volaille à la Fédération égyptienne des Chambres de commerce. La fragilité de la sécurité dans le pays, a-t-il ajouté, a permis à de nombreux magasins de volailles et fermes avicoles d’ouvrir dans des régions à forte densité démographique, augmentant le risque.
Sur les 143 cas qui ont été confirmés jusqu’ici en Egypte, y compris les deux derniers cas, qui avaient le virus A (H5N1), 47 cas ont été mortels, selon l’Organisation mondiale de la santé. « Nous continuons à recevoir un grand nombre de gens qui souffrent des symptômes de la grippe aviaire », a dit Mahmud Abdel Meguid, de l’hôpital Abassiya. « La plupart se sont révélés négatifs, mais nous devons les prendre au sérieux ».
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